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LE STUDIO DE CINEMA AMBULANT
(Une création prévue pour 2024-2025)
Spectacle burlesque & Cinéma participatif, de 8 à 77 ans (1h30)
« Nous devons être prêt à abandonner la vie que nous avons planifié pour vivre la vie qui nous attend », Joseph Campbell.
Auteur & porteur du projet : Gérald Jamon (Oizeau)
Comédiens-clowns : Thibault Guinamand, Gérald Oizeau
Réalisateur : Gérald Oizeau
Regard extérieur mise en mouvement : Mylène Mey
Scénographie & conception décor : Gérald Oizeau / Jacques Mey
Pour les besoins d’un court métrage, nous recherchons différents profils de 8 à 77 ans. Aucune expérience scénique ou audiovisuelle n’est requise. Intégrez un polar qui enquête sur la mystérieuse mort du personnage Barnabé Oléron, dans la petite ville de Little Moon… Venez vous initier au cinéma…plus qu’un tournage…une masterclasse. Attention, inscription conseillée, places limitées.
Un atelier de cinéma participatif qui déborde et prend des proportions de spectacle.
Une équipe de cinéma s’installe dans l’espace public. Elle ambitionne de tourner un court métrage avec des participants non professionnels, dans un timing d’1 heure 30. Tout est mis en œuvre pour que le déroulé du tournage se passe dans de bonnes conditions. Mais quelques incidents pourraient survenir et compliquer le tournage. Performance burlesque orchestré par les deux intervenants.
Comme on dirait dans l’milieu : « on verra au montage… ». La projection du court métrage aura lieu à l’issue de la journée de tournage.
Note d'intention
" A la croisée des chemins…
Une phrase adaptée à la naissance de ce projet, où je propose de fédérer deux Arts : le théâtre et le cinéma. Mais ce croisement va au-delà de sa forme hybride. Cela représente dans ma vie un point d’orgue, qui me pousse à développer et proposer cet univers dans l’espace public. [...]
Une dimension comique est présente afin de prendre de la distance avec le réel, sans cristalliser une situation qui peut nous mener vers une impasse. Un moteur pour transcender notre vision de la réalité. En incarnant un personnage, l’individu se sent suffisamment en sécurité pour se prendre au jeu, développer de la fantaisie et sortir des codes de la bienséance.
Le projet se clôture par une séance de projection du court métrage tourné, en partie, durant le spectacle.
La projection apporte une forme concrète pour le public participant; elle termine de tisser le lien social entre eux, et questionne le rapport à l’image propre à chacun. Les participants se laisseront surprendre par le rendu, de par leur performance : « la magie du cinéma opère ». Ils resteront les complices et privilégiés des rouages et des péripéties de le(ur) tournage.
Le sens de la performance n’est pas dans la qualité d’acting des participants. Il est surtout question de préserver de la bienveillance et de la pédagogie dans l’objectif de progresser tous ensemble. Cette proposition de tournage invite à un appel d’air, une évasion. L'opportunité de s’autoriser à se raconter une histoire, une autre vie, une nouvelle identité. Un moyen de chercher à s’extirper d’une sorte de cloisonnement propre à chacun. "
